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Histoire de Lo - Ivresses, Idéaux et Chaos Technique
30 août 2022

Sauvage, Sarcastique, Sensuelle... Mais Sincère. ("Le Ciel"/"Le Réel" est-il encore une vraie limite ? Non, juste un seuil. )



Souviens-toi,

Ma laideur n'était qu'une grimace permanente
Adressée à [tous ceux] qui n'ont pas su trouver
Quelque beauté dans mon coeur épuisé

Ai-je donc été à ton goût ?

Je ne suis plus que sève et venin
La Substance de nos enfants

Enfin.

(Réecriture d'après Matmatah, Le Festin de Bianca (2007) )



3 août 2022, 22 heures 40 :


Me revoilà enfin, à pouvoir reprendre la rédaction en douceur. Passé pratiquement tout le mois de juillet à comater dans l'appartement. Parce que la chaleur, parce que surtout effet cumulé de saturation interne, de stress... Diverses raisons que je n'évoquerai pas ici, mais rien de bien grave ! "Le jour où je ne gèrerai plus ma Vie, c'est que je ne serais plus de ce monde." Il faut savoir se le répéter régulièrement, comme un mantra, comme une comptine ou une berceuse qui rassure, qui renforce surtout. 
Mais là on touche au concret ! Va renforcer un môme un peu trop harcelé à l'école pour x raisons en lui chantant La Pêche aux moules... Je rêve d'une autre façon de renforcer les gamins et les motiver à pouvoir devenir plus qu'eux-mêmes, plus qu'un Soi-Même socialement déterminé. Un peu comme une ligne droite, avec deux autres lignes/perspectives, une de chaque côté. Une autre façon de les conduire, de les aider à tracer les premiers kilomètres de leurs propres sentiers. Qu'ils arrêtent de devoir suivre les suggestions de leurs profs, de la conseillère d'orientation.... Des voeux pieux comme ça, je pourrais en sortir, ça ne payerait rien de plus à personne. Mais ce n'est pas faute d'avoir eu cette idée. 

Et au milieu de tout ça, j'ai la vision d'une bande de mômes à la Goonies, intrépides, espiègles, déterminés avec un degré correct d'innocence (à mesurer et travailler/renforcer après effondrement civilisationnel effectif), en train d'exécuter un haka magistral pour conjurer le souvenir d'un système actuellement à l'agonie, qui ne sera plus qu'un souvenir... Une reprise de conscience... Une part de véritable reconnexion. Et nique le Fragilariat ! 

C'est ça où gaspiller inutilement d'autres ressources très utiles pour éviter d'occuper le club des Ouin-Ouin à temps partiel... C'est fou comme la pulsion vitale qui se manifeste par une certaine hargne/niaque/volonté de revanche sur l'existence continue de déranger une frange de ploucs (et surtout de plouquettes) condescendants, qui n'ont jamais eu l'habitude de te voir péter le feu de cette manière. Au point de vouloir transformer leur garden party intérieure en remake du Bal des Ardents. Seuls les vrais comprennent ces choses-là... les Réels. 

Je compte bouger un peu de ma tanière la semaine prochaine, et je n'attends que ça. Si ça peut expliquer en partie mon apathie sur juillet...


16 août, 10 heures 33 :



album-1202


Récemment revenue dans ma ville natale pendant une semaine ce mois-ci (du 8 au 13), je pensais pouvoir continuer la rédaction à cette période, mais au final quasi-pas touché à mon ordi (1 ou 2 soirs sur les cinq de mon séjour, à peine deux à trois heures en tout pour quelques trucs importants). Ce fut juste et nécessaire, l'idée étant quand même de pouvoir couper de ma routine à ce moment-là.. 

Et quand tu redécouvres un peu ta ville natale, pour le deuxième séjour depuis un an, quelques bouts d'histoire, d'architecture etc. à chaque passage, et que cela te confirme en partie la nécessité pour toi de bouger sitôt certaines conditions réunies, très clairement on en ressort plus motivée aussi.

Peu de gens en FDI (France de l'Intérieur) savent par exemple (hormis les gens qui s'y intéressent) que Strasbourg a été une ville libre d'empire pendant plus de 400 ans (419 plus précisément), avec sa Constitution (supprimée à la Rêve-olution de 1789), sa monnaie (le Thaler propre à la ville, à cette période de son histoire), son rayonnement... Ce qui ajoute à ma fierté identitaire personnelle. Pas au pire degré mais quand même. Il fallait un peu s'y attendre aussi, depuis un petit moment de par diverses circonstances de vie, etc.... je commence à sortir du peu d'illusions que j'ai pu chercher à maintenir en espérant pouvoir arriver à quelque chose.

On me demande de penser à mon "Avenir", comme si niveau pro c'était encore possible, quand d'autres ne taffent pas ou plus pour tout un tas de raisons, ou n'arrivent pas à taffer et je ne les juge pas, je ne suis pas en train de leur claquer ce type de phrases comme si j'avais peur qu'ils sortent du moule... Perso je m'en fous, ça fait 30 ans que je vis à côté. ^^ Et que j'y gagne bien plus sur x plans (au delà de l'aspect budget, hein, y a pas que l'argent dans la Vie. Donc les arguments autour de l'Assistanat, etc.... On va éviter de mettre ce genre d'arguments sur la table pour préserver au moins la paix des méninges... 

20 août, 11 heures 51 : 

Rêve bizarre la nuit dernière. Je me trouve dans une espèce de cage d'escalier bizarroïde, entre le moderne et l'ancien, les murs sont jaunes et les escaliers en bois verni. L'étage auquel j'accède donne sur plusieurs portes, un peu comme un hôtel ou un foyer (genre Jeunes Travailleurs ou Adoma), quelque chose d'aseptisé sans totalement l'être.... 

On me dit que mon père veut me voir, qu'il a des choses à m'expliquer. Est-il en passe de se barrer je ne sais pas où, de mourir des suites d'une maladie, je n'en sais absolument rien. Toujours est-il que j'angoisse en montant, marche après marche.

Je me retrouve quelques secondes plus tard face à ce qui est sensé être mon père. Ce qui le symbolise au final. 

Pas de visage. Même pas une figure humaine totalement planquée derrière un bandage, non. Et ça a le peu de cheveux bruns de mon père sur la tête (je me souviens qu'il avait un début de calvitie), et pas ses lunettes, ni sa barbe de trois jours, ni ses yeux ni rien. 
On est entre le moignon, la figure du Slenderman et une fine ouverture, humide, aux contours incertains et presque à vif, comme l'intérieur d'une grenade fraîche, au niveau de ce qui devrait être la bouche de mon père laisse entrevoir quelques dents presque pointues, disposées de manière grotesque et terrifiantes à la manière d'une personne atteinte de noma.

Et ça peut à peine parler, même si je perçois quelques sons bizarres. Un son entre le sanglot et l'étranglement, comme une personne qui cherche désespérément à respirer. Ce n'est pas mon père, ou alors ça révèle quelque chose en lui. La créature me prend la main et me la serre tendrement tout en continuant d'émettre ces sons. Est-ce qu'elle a peur ? Sans doute. Est-ce qu'elle implore ? Clair et net.

Et à partir de là je me sens perdue entre mon effroi et ma compassion. Je ne sais absolument pas quoi faire ni penser. Blackout total sur le reste de mon rêve. 



27 août, 21 heures 22 : 


Première certitude au cours de la journée : réduction alimentaire décrétée. Je ressens encore moins la faim qu'au plus fort de l'été, et rien que de faire deux soirs d'apéro (temps de visite, la seule raison pour laquelle je me l ' "autorise" un peu aussi), mon corps me dit :"Maintenant, ressaissis-toi. C'était sympa, mais maintenant tu dois revenir à la maîtrise que tu cherches, même secrètement." En même temps, depuis pratiquement 5 ans le besoin est devenu tellement relatif au profit de l'envie maîtrisée, que quand je décide de gentiment me lâcher il me reste une pointe de culpabilité bizarre. Un peu comme si j'avais peur d'un excès incontrôlé jusque dans le temps de pensée que je pourrais accorder à ce sujet.

Rapport à ce sujet pas compliqué mais toujours complexe.
Et comme plus j'avance dans le temps et selon les circonstances (même à petits pas), plus j'ai besoin d'avoir autre chose dans la tête et d'aspirer à autre chose qu'à du purement et simplement, superficiel et matériel...

Et qu'on ne vienne surtout pas me chercher avec vos religions, et encore moins vos sectes, en prétendant répondre à ce besoin, le mien, comme si c'était celui de milliers de personnes qui se partageraient mes visions, mes craintes, mon expérience, mes désirs et mes terreurs comme sur un seul et même réseau organique, etc... Oui le concept d'inconscient collectif, ouiiii..... Mais non.
Rabatteurs spirituels, je ne vous ai pas attendu et je ne vous attends pas, perso ça fait longtemps que je marche loin devant. Je sais encore faire la part des choses entre les individus qui ont besoin de vous pour des réponses ou simplement une raison d'avancer, de se sentir exister* et les êtres conscients, vraiment vivants (même en phase moins lumineuse mais quand même) qui en sont sortis ou revenus, et qui n'éprouvent pas le besoin ni l'envie de choisir un camp, de se rattacher à une église, une religion, un parti, un gourou ou je ne sais pas quoi. Ou alors en dilettante, ou parce que j'y trouve un intérêt x à un moment. Je cueille juste ce dont j'ai besoin, et je me casse. Là j'arrive à voyager léger, ce que je me sais incapable de faire dans la réalité. (c'est plus une escapade, c'est une expédition ^^). 

(*ça semble salopard venant de moi mais je passe aussi un peu mes nerfs.... Là vérité c'est que ça me fait de la peine plus qu'autre chose, et ça rajoute malgré ce que j'avance, à ma lassitude.... Le mot est lâché).

Reprochez-moi mon instabilité, que j'aurais bien besoin de savoir si la maladie sera un jour éradiquée, si je connais Dieu la Mère (véridique... Pas la première fois qu'ils me tombent dessus, mais je les ai à l'oeil...), si un jour on abolira les guerres, le mal, le metal, l'art, l'envie de boire pour stimuler la créativité artistique, les études sur tout ce qui sort de vos cadres idéologiques bien définis, la branlette adolescente, l'esprit critique, la science, la philo, l'Histoire, la possibilité de faire définitivement autre chose de ma chatte qu'exclusievement un sauf-conduit pour l'usine Utérus, sans quoi le système ne valorisera pas plus ma condition, ouiiiii  bien sûr....

Pas interdit de rêver, hein.
Mais réfléchissez cinq minutes. Mettons que tout s'arrange, que les choses/l'ordre des choses retrouvent leur pureté, ou leur netteté en partie, presque majoritaire. Ok, partons de ce principe tel que vous le concevez. Tudo Bem. Quelle sera encore votre utilité à compter de ce moment ?

Et je ne vous embrouille pas pour autant sur la nécessité d'arrêter de rêver, donc ne m'embrouillez sur la nécessité de trouver un sens à ma Vie, à ce propos ça fait huit ans que je suis en chemin... Et encore plus depuis trois.
Vous faire toute la liste serait une façon de me justifier inutilement, voilà pourquoi je vais tranquillement vous avertir de tracer votre route idéologique et de rester loin de moi avant de passer à autre chose. 

Femme, 30 ans, psychiatrisée, précarisée.
Artiste, Poète, Auto-Exploratrice... D'autres choses... Trop ? Pas assez ? Je m'en fous. Le début de la liberté, ou de plus loin que la définition qu'on me donne de la liberté ? Une des barrières que j'arrive à franchir, de manière quasi-instinctive, comme si c'était dans les gènes. 

Et avec la tête haute, s'il-te-plaît... Et constante dans mes inconstances, qu'elles aient été désirées ou subies. L'histoire de ma Vie, comme de celles d'autres Bordies à u degré plus ou moins variable de maîtrise/relâchement, ce n'est pratiquement que ça.
Une ambivalence permanente, quotidienne au final, entre connaissance et gestion des risques. Maîtrise/prise de risque(s).



Mais je prends tout ça, j'accepte et aime tout cela de moi. M'apprécier ou m'aimer (même un peu). Me mépriser (un peu, toujours). Aimer ou mépriser une part de mon prochain ? ça dépend du fragment de Prochain... Egalité de traitement dans la Passion existentielle, mais il faut savoir qui monte consciemment avec soi, et qui reste à terre. Qui laisser monter, et qui percuter. Et POURQUOI. Toujours savoir pourquoi.  
Et je connais mon cercle. 

Au tour de certains autour de moi. Prenez-moi avec tout. Mes qualités, mes défauts. Mes noblesses, mes vices. Je suis ce que je suis, telle que je suis. Certaines personnes proches de moi s'en sont rendues compte, tard oui, mais ENFIN. Certaines savaient, mais le constatent désormais plus ouvertement.

Pour d'autres je ne sais pas, je ne sais plus. Peut-être que je m'en fous et ce n'est pas plus mal. 


29 août, 22 heures 43 : 


Tellement de mèches qui demandent à être allumées, mais pas n'importe lesquelles. 
La mienne ça fait un moment qu'elle brûle pour x raisons.

Mais maintenant je m'en fous, même la Source m'a acquitée.

Pas ma faute si quelques abruties ont amené de l'essence en me confondant avec le barbecue sentimental de leurs daronnes.
Meetic ou Merdic ? S'illusionner ou grandir, il faut choisir !

Je m'en contrefous, puisque ces pétasses ont payé leurs barils, et que je n'ai rien eu à leur avancer.
Elles ont raqué de leur propre initiative pour nourrir ma flamme.

Là c'est moi qui vous ruine !

Et si elles veulent j'ai un alter qui se lance en psycho-chirurgie, un élève tellement doué que même à Briec et Rungis on a peur de l'embaucher.
La Vérité Vs. La Réalité…

27.08.2022

Actuellement, série de textes en cours, tous regroupés au fur et à mesure dans une playlist bien définie (la vidéo SELF-DUPLICATA(s) en fait partie). Celui-ci dessus est un brouillon, en cours d'écriture. 

Pesée ce soir (un peu avant 23 heures en fait), la balance affiche 105. -2 en quoi, une semaine au moins. (du mal à y croire sur le moment, mais pour le peu que je mange, c'est un peu lié aussi).

Le peu que je mange : à la fois parce que la chaleur estivale insupportable (additionnée à ma propre température corporelle... D'où cette capacité à me balader en automne/hiver avec un t-shirt à décolleté même raisonnable sous la veste qui interroge quiconque me croise. Je ne ressens presque pas le froid.) et pour des raisons plus profondes, qui échapperaient à la majorité des proches qui ont constaté ou constatent déjà quelque chose. 

Parce que je ne ressens plus la faim au degré où je la ressentais à une époque, comme un symbolique besoin de mordre en défense. On mord dans un truc gras, calorique etc... Pas seulement pour se réconforter, comme c'est notamment le cas pour certains hyperphagiques à bec sucré.
Si vous connaissez quelqu'un qui en fait, demandez-lui si c'est juste par réconfort ou pour compenser l'impossibilité de se défendre dans l'immédiat face à quelqu'un qui se révèle "mordant" vis-à-vis de lui (harcèlement moral, au travail, scolaire, violences intrafailailes etc....), de le "mordre" en légitime défense.... Vous débloquerez peut-être quelque chose chez la personne, qui l'inciterait à s'exprimer un peu plus. 

Je survole ça, mais pas envie de m'attarder là-dessus non plus. 

En tout cas,  il est nécessaire de savoir faire la part des choses entre la morsure sensuelle (voire plus, on est pas dans le suçon adolescent, je vous arrête tout de suite !) je parle d'un truc qui prend vraiment la chair, le coeur, l'âme), et l'instinct de survie, la catharsis émotionnelle. La notion de morsure fait peur aux gens. Je parie même que quelques-uns bondissent en pensant à qui, Mike Tyson ? Cette morsure à l'oreille de son adversaire Evander Holyfield, en juin 1997, sur laquelle le principal intéressé s'est exprimé 23 ans plus tard.

Poussé à bout par les multiples coups de tête de son rival, poussé à combattre malgré sa plainte (du fait d'une blessure importante à l'arcade sourcilière). Alors au bout d'un moment, on enlève son protège-dents et on passe à table... On pourrait transposer ce cas de figure à un contexte relationnel moins spectaculaire, plus quotidien, pour constater que ce genre d'étape dans la communication peut apparaître sans prévenir, rien qu'en étant poussé à bout dans un contexte où votre famille, votre vie, celle d'autres personnes, où plus simplement l'intégrité de votre santé mentale, le respect de votre personne, votre parole etc... Sont mis à (très) rude épreuve. 

J'ai mis du temps à comprendre que l'endurance, c'est comme la beauté qui "aide pendant le premier quart d'heure" (dixit Guitry). Au bout d'un moment, on se rend compte qu'on n'a plus les batteries pour encaisser x coups bas, incapacités, failles des uns et des autres... Et on prierait presque pour ne jamais avoir à croiser la personne qui a cherché à vous nuire, en croyant pouvoir tout contrôler de vous-même.

Pas par crainte. Mais simplement : en face, si c'est devenu la porte de la Petite Maison dans la Prairie et que certains bois crament plus facilement que d'autres, vous, vous êtes la porte de l'Enfer, sculptée par Rodin. Reste à comprendre qui/ce qui a fourni le bronze nécessaire à cette porte.
Reste à brûler, brûler, brûler. Que le bronze se détache de ce qui est caché en dessous. Avant retour au fournisseur, évacuez de la maison ce qui peut l'être. Comment le bronze peut s'agglomérer sur cette maison-illusion à partir de là, ce n'est plus votre affaire. 

Déterrer l'or, l'opale, l'argent... TOUT ce qu'on a étouffé mais qui brille par petites touches en attendant. 

S'il faut du temps pour construire un empire, il en faut autant pour le reconstituer. 


The Gates of Hell - Auguste Rodin, French, 1840 - 1917 - Google Arts & Culture

In 1880 Rodin was commissioned to create a set of bronze doors for a new museum in Paris. Inspired by The Divine Comedy, written by Dante Alighieri (Italian, c. 1265-1324), Rodin planned to decorate the doors with characters that Dante met on his fictional journey through hell.

https://artsandculture.google.com








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  • Chroniques d'un monde bordélique à hauteur humaine, trop humaine. Guerillera de salle de garde. Consultante en Ambivalence et Ironie auto-défensive. Et sinon je peins. (IG : lobazaar_gallery)
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